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The Sudanese government has said Egyptians can no longer enter Sudan without visas, effectively ending decades of free entry to the Sudan by Egyptian nationals.
The official Radio Omdurman on Saturday quoted the official spokesman for the ministry of Foreign Relations, Ambassador Qareeb Alla Al-Khidir, as saying Egyptian nationals, aged between 18 and 50 year old, wishing to enter Sudan must obtain entry visas in Cairo before heading to Khartoum.
Al-Khidir said, however, that those aged over 50 could enter the Sudan and get the visas on arrival at the airport.
The move is seen as tit-for-tat by the Sudanese government as Egyptians used to enter the Sudan without getting visas but at the Khartoum airport. This was applicable to all Egyptians until Friday.
Egypt had demanded that all Sudanese under 50 should get a visa in Khartoum before embarking on a trip to Cairo. Those over 50 get theirs at the airport along with a stiff security monitoring. Sometimes they are even denied entry.
The two countries have an agreement on the “4-freedom”, including the free movement from and to any of the two countries, possession of real estate and permission to work and invest like locals. But Egypt has been dragging its feet, according to Sudanese authorities, on the implementation of these freedoms.
It was not clear what prompted the Sudan to take that action, at a time the Egypt Minister of Foreign Affairs, Samih Shurki, is due to arrive in Khartoum Saturday.
But the spokesman was quoted by the official Sudanese news agency as arguing that the decision was made “within the framework of regular review and assessment of organization and control of entry into Sudan”.
He said the Egyptian side was notified before the new regulation.
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Le gouvernement soudanais a déclaré que les Egyptiens ne peuvent plus entrer au Soudan sans visas, ce qui met effectivement fin à des décennies d’entrée libre au Soudan par des ressortissants égyptiens.
L’officiel Radio Omdurman a cité samedi le porte-parole officiel du ministère des Relations étrangères, l’ambassadeur Qareeb Al-Khidir, affirmant que les ressortissants égyptiens âgés de 18 à 50 ans souhaitant entrer au Soudan doivent obtenir des visas d’entrée au Caire avant de se rendre à Khartoum .
Al-Khidir a toutefois déclaré que les personnes âgées de plus de 50 ans pouvaient entrer au Soudan et obtenir les visas à leur arrivée à l’aéroport.
On voit le mouvement aussi en riposte par le gouvernement soudanais que les Égyptiens ont eu l’habitude d’entrer au Soudan sans obtenir des visas, mais à l’aéroport de Khartoum. Ceci était applicable à tous les Égyptiens jusqu’à vendredi.
L’Égypte avait exigé que tous les soudanais de moins de 50 ans obtiennent un visa à Khartoum avant de prendre un voyage au Caire. Les plus de 50 ans l’obtiennent à l’aéroport avec un suivi rigoureux de la sécurité. Parfois, on leur refuse même l’entrée.
Les deux pays ont un accord sur les “quatre libertés “, y compris la libre circulation de et vers l’un des deux pays, la possession de l’immobilier et la permission de travailler et d’investir comme les habitants. Mais l’Egypte traîne les pieds, selon les autorités soudanaises, sur la mise en œuvre de ces libertés.
Il n’était pas clair ce qui a poussé le Soudan à prendre cette mesure, à la même heure, le ministre égyptien des Affaires étrangères, SamihShurki, devait arriver à Khartoum samedi.
Mais le porte-parole a été cité par l’agence de presse officielle soudanaise en arguant que la décision avait été prise “dans le cadre de l’examen et de l’évaluation réguliers de l’organisation et du contrôle de l’entrée au Soudan”.
Il a déclaré que le côté égyptien avait été informé avant le nouveau règlement
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Source: PANA
